Jeanne Neis Nabert[Jeanne_Neis_Nabert]

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Önéletraj Jeanne Neis Nabert

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Olda: 3 : 2 : 1

Les Bigoudènes :
Vers 2015-04-18 (2962 megjelenítések)

Les épaves :
Vers 2015-01-28 (3236 megjelenítések)

Les fenêtres :
Vers 2015-04-21 (3051 megjelenítések)

Les glaneurs :
Vers 2015-01-27 (2808 megjelenítések)

Les moussaillons :
Vers 2014-12-29 (3090 megjelenítések)

Les sardinières :
Vers 2015-01-07 (3252 megjelenítések)

Les trois compagnons d’armes :
Vers 2015-04-21 (2856 megjelenítések)

Les yeux :
Vers 2015-01-13 (2944 megjelenítések)

L’air est si lourd, la ville est vide… :
Vers 2015-05-28 (2843 megjelenítések)

L’amour est fou, l’amour triste… :
Vers 2015-05-24 (2980 megjelenítések)

L’enfant du bûcheron :
Vers 2015-01-14 (3265 megjelenítések)

L’heure est venue :
Vers 2014-12-28 (3163 megjelenítések)

L’île de Sein :
Vers 2015-04-07 (3484 megjelenítések)

L’orage :
Vers 2014-12-19 (3067 megjelenítések)

Mon doux amour dans la nuit sombre… :
Vers 2015-05-27 (2794 megjelenítések)

Mysticité :
Vers 2015-01-29 (2927 megjelenítések)

Ne détournez pas de moi… :
Vers 2015-03-31 (3160 megjelenítések)

Non tu ne connais pas mon triste et doux pays… :
Vers 2015-05-14 (2769 megjelenítések)

Nostalgie :
Vers 2015-04-23 (2820 megjelenítések)

Nous lisions :
Vers 2015-01-28 (2935 megjelenítések)

Nuages gris :
Vers 2015-04-21 (2683 megjelenítések)

Ô printemps :
Vers 2015-01-25 (3002 megjelenítések)

Orange :
Vers 2015-04-05 (2985 megjelenítések)

Où s’en vont-elles ? :
Vers 2015-04-16 (3345 megjelenítések)

Par le trou clair de la serrure… :
Vers 2015-05-28 (3007 megjelenítések)

Parce qu’en souriant j’ai dénoué mon voile… :
Vers 2015-05-29 (2980 megjelenítések)

Plus tard :
Vers 2014-12-19 (3518 megjelenítések)

Quand je vous rencontre en chemin… :
Vers 2015-05-29 (2993 megjelenítések)

Quand même :
Vers 2015-01-09 (3339 megjelenítések)

Quand tu m’as prise dans tes bras… :
Vers 2015-05-29 (3009 megjelenítések)

Qu’avais-tu donc en tes baisers… :
Vers 2015-05-29 (2875 megjelenítések)

Regardez-moi Seigneur... :
Vers 2015-03-31 (2354 megjelenítések)

Rêverie :
Vers 2014-12-28 (3185 megjelenítések)

Rouge :
Vers 2015-04-02 (2842 megjelenítések)

Si je savais où tu demeures…. :
Vers 2015-05-29 (2798 megjelenítések)

Si tu fuis mon ombre assise à ton seuil… :
Vers 2015-05-28 (2707 megjelenítések)

Si tu peux :
Vers 2014-12-22 (3118 megjelenítések)

Si vous avez le soir pleuré de nostalgie… :
Vers 2015-05-28 (2892 megjelenítések)

Soir de juin :
Vers 2014-12-21 (2982 megjelenítések)

Soir de mai :
Vers 2014-12-29 (2927 megjelenítések)

Soleil couchant :
Vers 2015-04-16 (2734 megjelenítések)

Sonnet :
Vers 2015-01-13 (2871 megjelenítések)

Souvenir :
Vers 2015-01-14 (3322 megjelenítések)

Soyez mon refuge... :
Vers 2014-12-19 (2821 megjelenítések)

To die… to sleep :
Vers 2015-01-30 (2786 megjelenítések)

Tous deux s’aimaient sans se le dire… :
Vers 2015-05-28 (2955 megjelenítések)

Tu ne sais pas combien je t’aime… :
Vers 2015-05-14 (3182 megjelenítések)

Vert :
Vers 2015-04-06 (2689 megjelenítések)

Violet :
Vers 2015-04-06 (3479 megjelenítések)

Voici le soir… :
Vers 2015-05-24 (2812 megjelenítések)

Önéletraj Jeanne Neis Nabert


Jeanne Neis Nabert, (1883-1969) est un écrivain français du début du XXe siècle.
Elle est la fille du Dr. Pierre Nicolas Christian Néis, médecin à Pont-Croix (Finistère) et de Laure VEILHEIN. Elle est née le 5 mars 1883 à Pont-Croix.
Ses premières œuvres sont des poèmes : "Humble Moisson" (recueil préfacé par Anatole Le Braz) et "Silences Brisés" qu'elle signe Sijenna. (anagramme approché de son nom). En 1908, son second recueil reçoit le prix Archon Despérouzes de l'Académie française. La même année, elle épouse le philosophe Jean Nabert, 1881-1960 ; ils auront deux enfants (Madeleine et Claude). En 1925, Charles Dullin monte une pièce en trois actes dont l'action se situe à l'Ile de Sein : "La Lame sourde". Jeanne Nabert publie ses écrits de janvier à mars 1926 dans la Grande Revue sous la signature de Jeanne Neis.
Elle fait scandale dans les années 1930 avec son livre "Le Cavalier de la mer", prix du premier roman en 19313. En effet, son roman dont l'action se situe à Pont-Croix à la fin du XIXe siècle met en scène des personnages (dont son père) qui ont pu être reconnus par leurs descendants, et il a été mal accueilli dans certaines familles. Le style est alerte, le langage fleuri, l'intrigue bien menée, et les personnages souvent attachants.
À 48 ans, elle entreprend sous son nom d'épouse une carrière de romancière. Elle meurt le 10 avril 1969 et repose au cimetière de Pont-Croix en compagnie de son mari le philosophe français Jean Nabert, 1881-1960.

Œuvres

•Humble Moisson, Le Dault, Paris, 1903
•Silences brisés, E. Sansot, 1908
•La Lame sourde, pièce en 3 actes, 1926 Lire en ligne
•Le Cavalier de la mer, Paris, Plon, 1932 ; Rennes, La Découvrance Éditions, 1995
•Les Termagies, Paris, Plon, 1936
•L'Îlienne, Paris, Librairie celtique, 1946
•Contes du bout du monde; Sarcenas, Calligrammes, 1988
•Nouveaux Contes du bout du monde; Sarcenas, Calligrammes, 1988
•Judith en Bretagne, Sarcenas, Calligrammes, 1992
•Œuvres de jeunesse : Pauvre vieux ; Le mur mitoyen, Plouhinec, Société littéraire et artistique du Cap Sizun, 1997